L'Union européenne a riposté mardi aux affirmations de Donald Trump selon lesquelles ses réglementations numériques ciblent injustement les géants technologiques américains. La réaction est intervenue juste un jour après que le président américain a menacé de nouvelles taxes douanières et de restrictions à l'exportation sur les puces avancées et la technologie si les pays n'annulent pas leurs taxes sur les services numériques.
Bruxelles : « Nous avons le droit de protéger notre propre marché »
La porte-parole de la Commission européenne, Paula Pinho, a souligné que l'Union ne céderait pas à la pression des États-Unis :
« C'est le droit souverain de l'UE et de ses États membres de réguler les activités économiques sur notre territoire en accord avec nos valeurs démocratiques. »
Ses remarques ont été faites en réponse directe à Trump, qui a critiqué l'Europe et d'autres alliés sur Truth Social lundi, les accusant de prendre des "actions discriminatoires" contre des entreprises américaines telles que Google, Meta, Amazon et Apple.
La position de Trump : Les impôts = une attaque contre l'Amérique
Trump a ciblé la taxe sur les services numériques du Royaume-Uni — une taxe de 2 % sur les revenus introduite en 2020 — affirmant qu'elle "punit l'innovation américaine" tout en offrant aux géants technologiques chinois un laissez-passer.
« Si ces mesures ne sont pas supprimées, les États-Unis imposeront des droits de douane supplémentaires significatifs et restreindront l'exportation de notre technologie et de nos puces hautement protégées », a averti Donald Trump.
Le Canada a reculé, l'UE reste ferme
Le mois dernier, le Canada a abrogé sa taxe numérique pour apaiser les relations commerciales tendues avec Washington — une mesure que Donald Trump a saluée comme une victoire.
Cependant, l'Union européenne adopte l'approche opposée. Sa loi sur les services numériques (DSA) limite le pouvoir des grandes plateformes, tandis que plusieurs États membres — y compris la France, l'Italie et l'Espagne — maintiennent leurs propres taxes numériques.
Au Royaume-Uni, le Premier ministre Keir Starmer a été vivement critiqué par les dirigeants de l'opposition. Le leader des Libéraux-Démocrates, Ed Davey, a déclaré :
« Le gouvernement ne doit pas céder au harcèlement de Donald Trump. Si les magnats de la technologie gagnent des millions grâce à nos données, il est juste qu'ils paient leur part d'impôts. »
Tensions croissantes avant de nouvelles discussions
Malgré la pression croissante des États-Unis, la Commission européenne a confirmé qu'elle n'a pas l'intention de modifier ses règles. Cela augmente la probabilité que l'administration de Trump puisse mettre en œuvre des mesures punitives, tendant les liens commerciaux non seulement avec l'UE mais aussi avec le Royaume-Uni.
👉 Le différend sur les taxes numériques devient rapidement un autre point de friction dans la guerre commerciale plus large, où Trump utilise des droits de douane, des puces et des politiques technologiques comme levier pour protéger les entreprises américaines.
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Avis :
,,Les informations et les opinions présentées dans cet article sont uniquement destinées à des fins éducatives et ne doivent pas être considérées comme des conseils en matière d'investissement dans aucune situation. Le contenu de ces pages ne doit pas être considéré comme des conseils financiers, d'investissement ou toute autre forme de conseil. Nous mettons en garde que l'investissement dans les cryptomonnaies peut comporter des risques et peut entraîner des pertes financières.“
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L'UE défie Trump : les règles numériques resteront en place malgré les menaces de tarifs et de puces.
L'Union européenne a riposté mardi aux affirmations de Donald Trump selon lesquelles ses réglementations numériques ciblent injustement les géants technologiques américains. La réaction est intervenue juste un jour après que le président américain a menacé de nouvelles taxes douanières et de restrictions à l'exportation sur les puces avancées et la technologie si les pays n'annulent pas leurs taxes sur les services numériques.
Bruxelles : « Nous avons le droit de protéger notre propre marché » La porte-parole de la Commission européenne, Paula Pinho, a souligné que l'Union ne céderait pas à la pression des États-Unis :
« C'est le droit souverain de l'UE et de ses États membres de réguler les activités économiques sur notre territoire en accord avec nos valeurs démocratiques. » Ses remarques ont été faites en réponse directe à Trump, qui a critiqué l'Europe et d'autres alliés sur Truth Social lundi, les accusant de prendre des "actions discriminatoires" contre des entreprises américaines telles que Google, Meta, Amazon et Apple.
La position de Trump : Les impôts = une attaque contre l'Amérique Trump a ciblé la taxe sur les services numériques du Royaume-Uni — une taxe de 2 % sur les revenus introduite en 2020 — affirmant qu'elle "punit l'innovation américaine" tout en offrant aux géants technologiques chinois un laissez-passer. « Si ces mesures ne sont pas supprimées, les États-Unis imposeront des droits de douane supplémentaires significatifs et restreindront l'exportation de notre technologie et de nos puces hautement protégées », a averti Donald Trump.
Le Canada a reculé, l'UE reste ferme Le mois dernier, le Canada a abrogé sa taxe numérique pour apaiser les relations commerciales tendues avec Washington — une mesure que Donald Trump a saluée comme une victoire. Cependant, l'Union européenne adopte l'approche opposée. Sa loi sur les services numériques (DSA) limite le pouvoir des grandes plateformes, tandis que plusieurs États membres — y compris la France, l'Italie et l'Espagne — maintiennent leurs propres taxes numériques. Au Royaume-Uni, le Premier ministre Keir Starmer a été vivement critiqué par les dirigeants de l'opposition. Le leader des Libéraux-Démocrates, Ed Davey, a déclaré :
« Le gouvernement ne doit pas céder au harcèlement de Donald Trump. Si les magnats de la technologie gagnent des millions grâce à nos données, il est juste qu'ils paient leur part d'impôts. »
Tensions croissantes avant de nouvelles discussions Malgré la pression croissante des États-Unis, la Commission européenne a confirmé qu'elle n'a pas l'intention de modifier ses règles. Cela augmente la probabilité que l'administration de Trump puisse mettre en œuvre des mesures punitives, tendant les liens commerciaux non seulement avec l'UE mais aussi avec le Royaume-Uni.
👉 Le différend sur les taxes numériques devient rapidement un autre point de friction dans la guerre commerciale plus large, où Trump utilise des droits de douane, des puces et des politiques technologiques comme levier pour protéger les entreprises américaines.
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