Les documents récemment divulgués montrent que le président américain actuel a discrètement acquis une grande quantité d'obligations entre la fin août et le début octobre de l'année dernière, pour un montant total d'au moins 82 millions de dollars, soit environ 630 millions de dollars hongkongais.

Le rapport financier divulgué par le bureau de l'éthique ce week-end a enregistré plus de 175 transactions. Les achats étaient variés : obligations municipales, obligations d'État, obligations de district scolaire, et une multitude d'obligations d'entreprise. Fait intéressant, plusieurs de ces actifs sont bénéficiaires de ses propres politiques. Par exemple, certaines entreprises qui ont réussi à se stabiliser après un assouplissement des réglementations financières, ou encore le secteur des puces - Intel, Broadcom, Qualcomm, ces entreprises détenues par le gouvernement américain figurent sur la liste. Les actions technologiques n'ont pas été laissées de côté non plus, Meta, Home Depot, Goldman Sachs, Morgan Stanley ont tous été acquis.

Mais ce qui attire vraiment l'attention, c'est un autre ensemble de chiffres. Le rapport indique qu'il a gagné plus de 600 millions de dollars l'année dernière uniquement grâce aux cryptomonnaies, aux droits immobiliers de golf et à d'autres activités. De plus, ces revenus lui appartiennent finalement en propre, sans passer par un trust ou un mécanisme d'isolement. L'extérieur surveille de près maintenant, se demandant s'il n'y a pas des soupçons de transfert d'intérêts.

La réponse de l'équipe est en fait toujours la même : ils disent qu'il a divulgué des informations conformément aux règles, que le portefeuille est géré par une tierce partie, et que lui et sa famille ne s'en mêlent pas. Mais le problème est que, lorsque les politiques que vous établissez peuvent directement influencer l'évaluation de ces actifs, est-ce que le fait de "ne pas s'en mêler" est suffisamment crédible ?

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