Aujourd'hui, j'ai vu une nouvelle qui, je dois dire, est assez choquante. La Banque centrale européenne a rejeté il y a quelques heures un plan de compensation de prêt de 140 milliards d'euros, coupant directement certains canaux d'aide.
L'explication officielle est "hors de portée des responsabilités" - la Banque centrale est responsable de la politique monétaire et n'est pas chargée des transferts fiscaux. Cela semble très professionnel, mais le timing est révélateur.
Ce qui est encore plus intéressant, c'est le jeu de pouvoir derrière. Les actifs russes gelés, d'un montant total de 300 milliards d'euros, sont principalement entre les mains de l'Europe. Le "Journal politique" révèle que Washington n'a en fait jamais voulu toucher à cet argent, faisant passer le message en privé qu'il fallait attendre que l'accord de paix soit conclu avant de s'en occuper.
Il y a un détail : un cadre de paix de 28 points mentionne qu'il est possible de prendre 100 milliards des actifs gelés pour créer un fonds de reconstruction, mais le pouvoir décisionnel est entre les mains des États-Unis, et les bénéfices doivent être partagés à moitié, le reste ? Renvoyé par le même chemin.
L'argent est en Europe, le pouvoir de décision est de l'autre côté de l'Atlantique, tandis que celui qui a le plus besoin de fonds n'en a pas.
La pression sur les comptes est déjà très évidente. Dans les deux prochaines années, un manque de financement de 90 milliards d'euros est à prévoir, l'aide du FMI arrive à échéance, les accords bilatéraux sont encore en discussion, et pour approuver le nouveau budget, il faut l'unanimité des 27 pays de l'Union européenne - la Hongrie a toujours eu une position opposée, la Belgique craint des poursuites juridiques (certaines analyses évoquent un risque d'indemnisation de 185 milliards), et la Slovaquie a simplement quitté les discussions.
Si le sommet de l'UE du 18 décembre n'aboutit pas, certains pays pourraient devoir réduire leurs dépenses, y compris leur budget militaire, à partir de 2026.
L'impact de cette situation sur le sentiment du marché ne peut être ignoré. L'incertitude géopolitique et les variations des flux de capitaux se répercutent sur la tarification des actifs risqués. Le marché des cryptomonnaies est très sensible à ce type de récit macroéconomique, et le récent repli reflète en partie ce sentiment de recherche de sécurité.
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ChainComedian
· Il y a 13h
Ce scénario est vraiment absurde, l'Europe est-elle vraiment coincée au milieu ? 300 milliards d'actifs gelés, et au final, le pouvoir de décision est entièrement à Washington, c'est risible.
Le jeu de l'argent est toujours le plus honnête, le crypto l'a déjà révélé.
Les 27 pays de l'UE doivent encore voter à l'unanimité, et ce cher Hongrois va probablement encore faire des siennes, la Belgique a encore peur des compensations ? C'est ce qu'on appelle voir les choses off-chain, tandis qu'en réalité, on traîne des pieds.
Si le 18 décembre ils ne parviennent toujours pas à un accord, la coupe dans le budget militaire de 2026 sera véritablement catastrophique pour le marché.
Ceux qui osent encore prendre des actifs à risque sont vraiment des guerriers.
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SnapshotLaborer
· Il y a 16h
La situation en Europe, pour le dire simplement, c'est une séparation entre l'argent et le pouvoir, c'est gênant pour tout le monde.
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Avec 300 milliards d'actifs gelés, les États-Unis parlent avec fermeté.
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Attendez, il faut encore partager la moitié des bénéfices ? Comment ce cadre de coopération a-t-il été rédigé, c'est vraiment absurde.
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La Hongrie, la Belgique et la Slovaquie ont toutes échoué, les luttes internes de l'UE sont vraiment extrêmes.
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Le trou de 900 milliards d'euros dans les deux prochaines années va directement provoquer un dumping, le marché des cryptomonnaies a déjà senti le risque.
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La raison "hors de portée" de la Banque centrale semble vraiment risible, la sensibilité au timing est à son maximum.
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Cette opération géopolitique est en effet en train de faire baisser les actifs risqués, ce qui correspond à l'émotion de couverture dans notre l'univers de la cryptomonnaie.
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Le problème des actifs gelés n'est pas résolu, l'approbation du budget de l'UE est toujours bloquée, comment va-t-on tenir jusqu'en 2026 ?
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Si Washington ne lâche pas prise, l'Europe va se débrouiller seule, et les pays qui ont le plus besoin d'argent seront toujours les plus touchés.
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Il est vrai que le budget militaire doit être réduit, avec une situation géopolitique si tendue, il faut plutôt économiser, pourquoi la logique est-elle si étrange ?
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GasWaster69
· Il y a 16h
L'Europe s'amuse trop ici, l'argent est gelé, et le pouvoir de décision est toujours entre les mains des États-Unis, c'est hilarant.
États-Unis : Je vais vous aider à dépenser votre argent, et je veux la moitié des profits.
Cette logique est vraiment incroyable, pas étonnant que le marché des cryptomonnaies soit agité ces derniers jours.
Attendez, 27 pays ont voté à l'unanimité ? La Hongrie a toujours été là pour semer le trouble, ce budget peut-il vraiment passer ?
Quoi qu'il en soit, l'univers de la cryptomonnaie chute avec la géopolitique, maintenant il s'agit de voir qui pourra tenir jusqu'après décembre.
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GateUser-afe07a92
· Il y a 16h
Le jeu de l'argent recommence, cette opération de la Banque centrale européenne est vraiment incroyable.
Washington avec la télécommande, l'Europe se débat sur le sol, 3000 milliards en suspens comme ça ?
Cette fois, le marché des cryptomonnaies devra aussi faire ses adieux...
Il n'y a personne pour combler le manque de fonds, à quel point les actifs risqués peuvent-ils aller ?
En gros, c'est un jeu de pouvoir, les petits pays sont mis à l'écart, les grandes puissances se tirent dans les pattes, et les investisseurs détaillants prennent le relais, un cycle sans fin.
Si on ne passe pas cette étape au sommet de décembre, on pourra s'attendre à du spectacle en 2026.
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UncleWhale
· Il y a 16h
Merde, encore ces vieux tours américains, 3000 milliards d'euros pour faire bouger les choses ?
Un jeu d'argent, un jeu de pouvoir décisionnel.
L'Europe est vraiment mise à l'écart.
On aurait dû acheter le dip plus tôt, les amis.
Ce n'est pas normal, en calculant, l'Europe va vraiment subir de grosses pertes.
La clé, c'est le 18 décembre, qu'est-ce qu'on va en tirer ?
Le marché des cryptomonnaies a un vrai nez, cette vague d'émotions de risque est effectivement arrivée.
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StakeWhisperer
· Il y a 16h
Oh putain, l'Europe est vraiment mise à l'écart ? L'argent est dans les mains mais on ne peut pas l'utiliser, c'est ridicule.
Est-ce que quelqu'un a calculé si en 2026 le budget est vraiment réduit, quel impact cela aura sur le financement des projets de la chaîne éthique ?
C'est un véritable enlèvement financier, ce n'est pas étonnant que les institutions soient en attente ces derniers temps, qui oserait prendre une Heavy Position dans de telles attentes macroéconomiques ?
Les États-Unis sont vraiment forts, geler des actifs et partager des bénéfices, l'Europe n'a tout simplement pas de pouvoir de décision.
Attendez, le risque d'indemnisation de 185 milliards en Belgique est-il vrai ? Si cela se concrétise, l'évaluation de la chaîne sera forcément volatile.
Le marché des cryptomonnaies a en fait déjà commencé à évaluer ces choses, nous avons juste réalisé cela un peu plus tôt que le TradFi.
Un manque de 90 milliards ce n'est pas un petit chiffre, l'euro risque encore d'être sous pression l'année prochaine.
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ParallelChainMaxi
· Il y a 16h
Ah ça... luttes internes en Europe + contrôle américain, la question de l'argent a toujours été une question politique
Du côté américain, 300 milliards de fonds gelés sont utilisés comme levier, l'Europe doit encore obéir, un classique
Le déficit budgétaire de 2026, à ce moment-là, comment le marché des cryptomonnaies sera-t-il évalué, c'est difficile à dire... la prime d'incertitude va encore remonter
Si le mur entre la Hongrie et la Belgique n'est pas abattu, l'Union européenne ne pourra pas bouger, l'essentiel est d'attendre un protocole de paix
Remboursement des fonds gelés ? Laissez tomber, les États-Unis prennent d'abord la moitié des bénéfices, le reste ne retournera pas là où c'est nécessaire
C'est vraiment pourquoi le marché va encore trembler avant de buy the dip.
Aujourd'hui, j'ai vu une nouvelle qui, je dois dire, est assez choquante. La Banque centrale européenne a rejeté il y a quelques heures un plan de compensation de prêt de 140 milliards d'euros, coupant directement certains canaux d'aide.
L'explication officielle est "hors de portée des responsabilités" - la Banque centrale est responsable de la politique monétaire et n'est pas chargée des transferts fiscaux. Cela semble très professionnel, mais le timing est révélateur.
Ce qui est encore plus intéressant, c'est le jeu de pouvoir derrière. Les actifs russes gelés, d'un montant total de 300 milliards d'euros, sont principalement entre les mains de l'Europe. Le "Journal politique" révèle que Washington n'a en fait jamais voulu toucher à cet argent, faisant passer le message en privé qu'il fallait attendre que l'accord de paix soit conclu avant de s'en occuper.
Il y a un détail : un cadre de paix de 28 points mentionne qu'il est possible de prendre 100 milliards des actifs gelés pour créer un fonds de reconstruction, mais le pouvoir décisionnel est entre les mains des États-Unis, et les bénéfices doivent être partagés à moitié, le reste ? Renvoyé par le même chemin.
L'argent est en Europe, le pouvoir de décision est de l'autre côté de l'Atlantique, tandis que celui qui a le plus besoin de fonds n'en a pas.
La pression sur les comptes est déjà très évidente. Dans les deux prochaines années, un manque de financement de 90 milliards d'euros est à prévoir, l'aide du FMI arrive à échéance, les accords bilatéraux sont encore en discussion, et pour approuver le nouveau budget, il faut l'unanimité des 27 pays de l'Union européenne - la Hongrie a toujours eu une position opposée, la Belgique craint des poursuites juridiques (certaines analyses évoquent un risque d'indemnisation de 185 milliards), et la Slovaquie a simplement quitté les discussions.
Si le sommet de l'UE du 18 décembre n'aboutit pas, certains pays pourraient devoir réduire leurs dépenses, y compris leur budget militaire, à partir de 2026.
L'impact de cette situation sur le sentiment du marché ne peut être ignoré. L'incertitude géopolitique et les variations des flux de capitaux se répercutent sur la tarification des actifs risqués. Le marché des cryptomonnaies est très sensible à ce type de récit macroéconomique, et le récent repli reflète en partie ce sentiment de recherche de sécurité.