Ironie du sort : la plateforme que Bruxelles voulait faire taire est devenue la source d’information la plus lue d’Europe.
Pendant des mois, les régulateurs de l’UE ont tout tenté contre X : menaces d’amendes élevées, exigences de censure, couches de bureaucratie. La version officielle ? Lutter contre la « désinformation ». Le sous-texte ? Contrôler les récits.
Mais voici ce qui s’est réellement passé : l’engagement des utilisateurs a explosé. La consommation d’actualités sur X a grimpé en flèche sur les marchés européens. En fin de compte, les gens se tournent vers les plateformes où l’information circule librement, pas vers celles où les bureaucrates filtrent le contenu.
Cet affrontement pose une question plus large pour les builders Web3 : l’infrastructure décentralisée peut-elle mieux résister à la pression réglementaire que les plateformes traditionnelles ? X n’est pas totalement décentralisé, mais elle encaisse des attaques qui auraient anéanti des acteurs plus petits.
Peut-être que le véritable enjeu n’est pas technologie contre régulation, mais permission contre absence de permission.
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DarkPoolWatcher
· 12-09 15:58
Plus ils censurent, plus ça devient populaire, c’est l’effet inverse de la censure. Les gens à Bruxelles n’ont même pas encore réagi.
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LightningAllInHero
· 12-08 02:34
Plus c’est censuré, plus ça devient populaire, c’est vraiment aussi simple que ça.
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RektCoaster
· 12-07 22:08
Plus on censure, plus ça attire l'attention, c'est l'effet contre-productif de la censure.
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AirdropHarvester
· 12-07 21:52
Plus on exerce de pression, plus ça s’enflamme : c’est le dénouement auquel Bruxelles ne s’attendait pas, haha.
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AirdropHunterKing
· 12-07 21:50
Ha, ces gens de Bruxelles se tirent une balle dans le pied, plus ils répriment X, plus il devient populaire, c'est ça la force du permissionless.
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¯\_(ツ)_/¯
· 12-07 21:41
Plus on essaie de réprimer, plus ça prend de l’ampleur, ce n’est pas la première fois qu’on voit ce genre de schéma. Plus le pouvoir est grand, plus il veut contrôler l’information, mais au final, cela donne encore plus d’élan à X.
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ContractFreelancer
· 12-07 21:33
Plus on interdit, plus ça cartonne. Cette vieille recette ne marche plus. Bruxelles se tire une balle dans le pied, ils manquent vraiment d’imagination.
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En fait, c’est juste le permissionless qui a gagné ; la régulation, au fond, c’est juste une tentative de monopole du discours.
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Le Web3 devrait vraiment étudier ce cas de près : savoir comment résister à la pression de la censure des autorités, c’est ça l’essentiel.
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Ce qu’il y a d’ironie, c’est que plus on contrôle, plus ça s’active ; ça prouve bien la valeur de la décentralisation.
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La censure devient en fait la meilleure publicité… Les gens vont toujours là où la liberté circule, c’est humain.
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Pouvoir contre liberté, la pièce continue. X n’est qu’un début, la vraie révolution décentralisée n’a pas encore commencé.
Ironie du sort : la plateforme que Bruxelles voulait faire taire est devenue la source d’information la plus lue d’Europe.
Pendant des mois, les régulateurs de l’UE ont tout tenté contre X : menaces d’amendes élevées, exigences de censure, couches de bureaucratie. La version officielle ? Lutter contre la « désinformation ». Le sous-texte ? Contrôler les récits.
Mais voici ce qui s’est réellement passé : l’engagement des utilisateurs a explosé. La consommation d’actualités sur X a grimpé en flèche sur les marchés européens. En fin de compte, les gens se tournent vers les plateformes où l’information circule librement, pas vers celles où les bureaucrates filtrent le contenu.
Cet affrontement pose une question plus large pour les builders Web3 : l’infrastructure décentralisée peut-elle mieux résister à la pression réglementaire que les plateformes traditionnelles ? X n’est pas totalement décentralisé, mais elle encaisse des attaques qui auraient anéanti des acteurs plus petits.
Peut-être que le véritable enjeu n’est pas technologie contre régulation, mais permission contre absence de permission.