Le secteur évolue rapidement. On dit que le régulateur des matières premières vient d’approuver pour la première fois le trading au comptant de cryptomonnaies sur leurs plateformes officiellement enregistrées – un changement majeur pour les États qui cherchent à reprendre l’avantage dans ce domaine. Ils n’y vont pas à moitié, déployant ce qu’ils appellent une feuille de route complète pour retrouver la première place mondiale.

Pendant ce temps, Larry Fink a lâché une bombe : les fonds souverains accumulent discrètement du Bitcoin. Quand le PDG du plus grand gestionnaire d’actifs au monde affirme que des fonds soutenus par des États achètent, ce n’est pas seulement une brèche institutionnelle qui s’ouvre – c’est une véritable déferlante.