Les régulateurs européens viennent de lancer une enquête majeure sur l’un des plus grands acteurs de la tech. La Commission ouvre une enquête antitrust à grande échelle ciblant la manière dont un certain géant de la recherche alimente ses modèles d’IA.
Voici ce qui se passe : Bruxelles se demande si d’énormes quantités de contenus provenant d’éditeurs de presse et de plateformes vidéo ont été aspirées à des fins d’apprentissage automatique sans accords appropriés. On parle potentiellement de milliards de points de données extraits auprès de créateurs et de médias qui n’ont jamais donné leur accord pour que leur travail serve de matériau d’entraînement.
Le problème central ? Savoir si ces pratiques violent les lois européennes sur la concurrence en donnant à ce géant de la tech un avantage déloyal, tout en laissant les créateurs de contenu sur la touche. Pas de discussions sur une compensation, pas de cadre de consentement—juste une captation des données.
Cette enquête pourrait établir des précédents majeurs sur la manière dont les entreprises d’IA sourcent leurs données d’entraînement à l’avenir. Si les régulateurs constatent des violations, on pourrait voir de lourdes amendes et l’instauration d’accords de licence obligatoires, ce qui pourrait complètement remodeler le paysage du développement de l’IA en Europe.
L’enquête intervient alors que les régulateurs du monde entier examinent de plus en plus les pratiques des géants de la tech en matière de données, notamment autour de l’IA générative. Ce qui se passera ici pourrait influencer des affaires similaires à l’échelle mondiale et potentiellement impacter la manière dont les projets d’IA décentralisée aborderont la collecte de données à l’avenir.
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APY追逐者
· 12-09 17:02
Copier des données via des bots sans payer ? Il est grand temps de réguler cette pratique.
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L’UE passe enfin à l’action, voyons comment les géants vont justifier ce mensonge.
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Utiliser des dizaines de milliards de données sans autorisation pour entraîner l’IA... Dans les secteurs traditionnels, on aurait déjà retiré leur licence.
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Encore Google ? Ce groupe n’arrête jamais de susciter des polémiques.
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Le vrai problème, c’est l’absence de compensation pour les données. Les créateurs de contenu sont complètement dépouillés.
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Curieux de voir la forme que prendra l’amende de l’UE, mais est-ce que ça aura un impact chez nous ?
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Si cette affaire est vraiment confirmée, c’est toute la logique de l’entraînement IA qui devra être repensée.
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La morale ? Ils ne comprennent pas, ils n’écoutent que le bruit des amendes.
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Attendez, ce n’est pas du vol en plein jour ça, sous couvert de légalité ?
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StablecoinGuardian
· 12-09 16:59
Eh ben, encore un grand groupe qui fait l’objet d’une enquête... Cette fois, ils ne plaisantent plus, l’UE ne rigole vraiment pas.
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BlockchainBrokenPromise
· 12-09 16:33
Ça aurait dû être réglementé depuis longtemps, les grandes entreprises recopient les données comme ça, les créateurs n'ont rien.
Les régulateurs européens viennent de lancer une enquête majeure sur l’un des plus grands acteurs de la tech. La Commission ouvre une enquête antitrust à grande échelle ciblant la manière dont un certain géant de la recherche alimente ses modèles d’IA.
Voici ce qui se passe : Bruxelles se demande si d’énormes quantités de contenus provenant d’éditeurs de presse et de plateformes vidéo ont été aspirées à des fins d’apprentissage automatique sans accords appropriés. On parle potentiellement de milliards de points de données extraits auprès de créateurs et de médias qui n’ont jamais donné leur accord pour que leur travail serve de matériau d’entraînement.
Le problème central ? Savoir si ces pratiques violent les lois européennes sur la concurrence en donnant à ce géant de la tech un avantage déloyal, tout en laissant les créateurs de contenu sur la touche. Pas de discussions sur une compensation, pas de cadre de consentement—juste une captation des données.
Cette enquête pourrait établir des précédents majeurs sur la manière dont les entreprises d’IA sourcent leurs données d’entraînement à l’avenir. Si les régulateurs constatent des violations, on pourrait voir de lourdes amendes et l’instauration d’accords de licence obligatoires, ce qui pourrait complètement remodeler le paysage du développement de l’IA en Europe.
L’enquête intervient alors que les régulateurs du monde entier examinent de plus en plus les pratiques des géants de la tech en matière de données, notamment autour de l’IA générative. Ce qui se passera ici pourrait influencer des affaires similaires à l’échelle mondiale et potentiellement impacter la manière dont les projets d’IA décentralisée aborderont la collecte de données à l’avenir.