Voici une réflexion intéressante : ce seuil d'imposition de 800 000 ₦ pour les traders de crypto-monnaies. Mais attendez, comment les autorités peuvent-elles réellement savoir quand quelqu’un dépasse cette limite ? Surtout si le trader n’utilise jamais une plateforme d’échange nigériane, ne relie jamais un compte bancaire local et contourne complètement les passerelles de paiement nationales. C’est un vrai casse-tête en matière d’application. La réglementation existe sur le papier, certes, mais le mécanisme de surveillance pratique ? C’est là que ça devient intéressant. Si toutes vos transactions ont lieu sur des plateformes étrangères sans KYC lié à une identité nigériane, il devient presque impossible de faire respecter ce seuil. On peut vraiment se demander quelle est l’applicabilité réelle de telles politiques.
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OldLeekConfession
· 12-12 11:33
Honnêtement, tout ce que fait le régulateur, c'est de la théorie sur papier... Ils pensent vraiment que les gens sont idiots ? En utilisant une plateforme étrangère, ils peuvent faire tourner l'administration fiscale en rond.
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GateUser-26d7f434
· 12-12 10:37
En parlant de ce seuil de 800k... est-ce que quelqu'un peut vraiment le vérifier ? Les transactions offshore sont tout simplement inévitables.
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DegenMcsleepless
· 12-10 05:45
Les réglementations des autorités de régulation de la NGL sont des tigres de papier, et il est vraiment difficile d’enquêter
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LiquidationWatcher
· 12-09 17:59
Honnêtement, c’est précisément à cause de ce manque d’application que je reste paranoïaque sur la taille des positions... J’ai déjà vu des gens se faire surprendre par la réglementation, et spoiler : ce n’était pas joli à voir. Offshore ne veut pas dire en sécurité pour toujours, crois-moi là-dessus.
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ReverseTrendSister
· 12-09 17:55
Mort de rire, l'écart entre les politiques écrites noir sur blanc par les régulateurs et la réalité du terrain... C'est vraiment n'importe quoi.
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rugged_again
· 12-09 17:49
Cette régulation, c'est juste des paroles en l'air... S'il fallait vraiment enquêter, ce serait un vrai casse-tête.
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OldLeekMaster
· 12-09 17:42
Pour faire simple, les règles sur le papier restent des règles sur le papier... Les transactions offshore sont tout simplement intraçables, même si le gouvernement nigérian sait bien compter, il lui faut quand même des données. N'est-ce pas là un exemple typique de "zones hors de portée de la loi" ?
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ForkItAll
· 12-09 17:39
Eh bien... donc les régulateurs ne font que parler sans agir, les transactions offshore sont tout simplement impossibles à contrôler, ce seuil est mis en place mais cela revient au même que s'il n'existait pas.
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Tokenomics911
· 12-09 17:31
Non, cette régulation n’est vraiment qu’un tigre de papier… Qui peut vraiment contrôler les transactions offshore ?
Voici une réflexion intéressante : ce seuil d'imposition de 800 000 ₦ pour les traders de crypto-monnaies. Mais attendez, comment les autorités peuvent-elles réellement savoir quand quelqu’un dépasse cette limite ? Surtout si le trader n’utilise jamais une plateforme d’échange nigériane, ne relie jamais un compte bancaire local et contourne complètement les passerelles de paiement nationales. C’est un vrai casse-tête en matière d’application. La réglementation existe sur le papier, certes, mais le mécanisme de surveillance pratique ? C’est là que ça devient intéressant. Si toutes vos transactions ont lieu sur des plateformes étrangères sans KYC lié à une identité nigériane, il devient presque impossible de faire respecter ce seuil. On peut vraiment se demander quelle est l’applicabilité réelle de telles politiques.