L’UE vient d’infliger à une certaine plateforme sociale une amende de $140M au titre de leur Digital Services Act. Les violations alléguées ? Plutôt vagues, si vous voulez mon avis.
Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ici ? Certains disent que ce n’est pas une simple application classique de la protection des consommateurs. Les accusations semblent bien légères quand on les examine de près. Ça pousse à se demander s’il n’y a pas autre chose derrière cette décision.
Le timing est aussi intéressant. La plateforme a récemment repoussé les limites en matière de modération de contenu. Et soudainement, voilà cette amende massive.
Appelez ça comme vous voulez, mais quand les régulateurs ciblent des plateformes connues pour leurs politiques plus souples en matière de liberté d’expression avec des amendes de cette ampleur sur la base de violations floues, ça pose question. Est-ce vraiment pour protéger les utilisateurs ? Ou s’agit-il de faire un exemple de plateformes qui ne se conforment pas à la vision de certains gouvernements sur la façon dont les espaces en ligne doivent fonctionner ?
Le DSA donne à Bruxelles de vrais moyens pour imposer leur vision de la régulation d’Internet. Et ils n’ont clairement pas peur de s’en servir. Que vous considériez cela comme une supervision nécessaire ou comme un excès de zèle réglementaire dépend probablement de votre position sur le débat entre liberté d’expression et responsabilité des plateformes.
Quoi qu’il en soit, $140 millions, ça envoie un message. Et cette plateforme l’a reçu, cinq sur cinq.
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SchroedingersFrontrun
· Il y a 23h
1. Plus d'un milliard de dollars envolés comme ça, c'est vraiment un exemple de manuel pour "tuer le poulet pour effrayer les singes", haha.
2. Pour faire simple, l'UE veut juste prouver qui est le patron. Liberté d'expression ? Désolé, ça c'est l'affaire des Américains.
3. C'est vrai que l'accusation est incroyablement floue, mais bon, c'est eux qui ont la loi en main.
4. Putain, une seule amende suffit à faire plier une grande plateforme, ce pouvoir est... je ne vais pas commenter.
5. L'UE joue encore à "ce que je dis, c'est la loi", encore un clou dans le cercueil de la liberté sur Internet.
6. Pour cette plateforme, cette somme c'est de la petite monnaie, la vraie menace c'est la réputation d'être mise sur liste noire.
7. On dirait une censure déguisée... mais leur texte de loi est vraiment bien rédigé.
8. Quatorze milliards, ça fait peur, mais le vrai spectacle, c'est la bataille politique derrière tout ça.
9. C'est la faute de cette plateforme, ils étaient trop arrogants, ils voulaient défier l'UE, voilà le résultat.
10. Où est la concurrence loyale promise ? Voilà la différence entre ceux qui font les règles et ceux qui jouent.
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CommunityLurker
· 12-06 05:48
Pour être honnête, cette amende, c'est juste l'UE qui montre ses muscles. Liberté d'expression vs responsabilité des plateformes, au fond, c'est toujours un jeu de pouvoir.
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TooScaredToSell
· 12-06 05:39
NGL, l’ampleur de cette amende est vraiment aberrante, mais les raisons de l’UE ne tiennent vraiment pas la route...
L’Union européenne joue sur les mots ici ? Une accusation floue suffit pour infliger une amende de 140 millions, c’est ça l’État de droit ?
Au fond, c’est juste parce qu’ils trouvent que la modération de la liberté d’expression sur la plateforme est trop laxiste, alors ils veulent donner une leçon... Le pouvoir est vraiment sans limite.
140 millions juste pour montrer l’exemple ? J’ai l’impression que ce n’est pas aussi simple que protéger les utilisateurs.
Liberté d’expression vs responsabilité des plateformes, il n’y a pas de réponse standard à ce débat, mais eux, ils balancent juste de l’argent pour trancher.
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NonFungibleDegen
· 12-06 05:26
Franchement, ce truc $140M c'est probablement rien... attends non, c'est clairement quelque chose lol. L'UE est en train de faire un speedrun du "faites que les plateformes se conforment ou sinon" et je suis là pour le chaos, vraiment.
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SignatureVerifier
· 12-06 05:25
Techniquement parlant, ces « violations floues » sont exactement le type de validation insuffisante que nous signalerions lors de tout audit de sécurité... Bruxelles vient simplement d’instrumentaliser l’ambiguïté réglementaire et appelle cela de l’application de la loi. Il faudrait un audit supplémentaire rien que pour comprendre ce qu’ils allèguent réellement ici, pour être honnête.
L’UE vient d’infliger à une certaine plateforme sociale une amende de $140M au titre de leur Digital Services Act. Les violations alléguées ? Plutôt vagues, si vous voulez mon avis.
Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ici ? Certains disent que ce n’est pas une simple application classique de la protection des consommateurs. Les accusations semblent bien légères quand on les examine de près. Ça pousse à se demander s’il n’y a pas autre chose derrière cette décision.
Le timing est aussi intéressant. La plateforme a récemment repoussé les limites en matière de modération de contenu. Et soudainement, voilà cette amende massive.
Appelez ça comme vous voulez, mais quand les régulateurs ciblent des plateformes connues pour leurs politiques plus souples en matière de liberté d’expression avec des amendes de cette ampleur sur la base de violations floues, ça pose question. Est-ce vraiment pour protéger les utilisateurs ? Ou s’agit-il de faire un exemple de plateformes qui ne se conforment pas à la vision de certains gouvernements sur la façon dont les espaces en ligne doivent fonctionner ?
Le DSA donne à Bruxelles de vrais moyens pour imposer leur vision de la régulation d’Internet. Et ils n’ont clairement pas peur de s’en servir. Que vous considériez cela comme une supervision nécessaire ou comme un excès de zèle réglementaire dépend probablement de votre position sur le débat entre liberté d’expression et responsabilité des plateformes.
Quoi qu’il en soit, $140 millions, ça envoie un message. Et cette plateforme l’a reçu, cinq sur cinq.