Voici de quoi réfléchir : avec l’arrivée de ces nouvelles réglementations fiscales, les régulateurs peuvent-ils réellement retrouver chaque trader en activité ?
Les derniers changements de politique soulèvent de sérieuses questions. D’un côté, les agences de contrôle affirment disposer d’outils sophistiqués pour surveiller l’activité sur la blockchain. De l’autre ? La réalité est bien plus complexe qu’elles ne veulent l’admettre.
L’analyse de la blockchain permet de tracer les mouvements des portefeuilles publics, certes. Les données KYC des exchanges créent des pistes. Mais qu’en est-il de ceux qui utilisent des mixers, des crypto-monnaies axées sur la confidentialité, ou qui changent de portefeuille comme si de rien n’était ? Le jeu du chat et de la souris entre régulateurs et traders avertis vient de monter d’un cran.
Le plus ironique, c’est que la plupart des traders occasionnels ignorent totalement qu’ils sont censés déclarer certaines transactions. Pendant ce temps, ceux qui savent exactement ce qu’ils font ont déjà élaboré leurs stratégies. La conformité fiscale dans la crypto reste une zone grise étrange où les bonnes intentions se heurtent à la complexité technologique.
Une surveillance totale est-elle même envisageable sans transformer tout l’écosystème en cauchemar orwellien ? Voilà la question à un million d’euros à laquelle personne ne répond franchement.
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StableBoi
· 12-09 17:57
La régulation ne rattrapera jamais la vitesse de la blockchain, c’est ça la réalité.
Ce genre de règles fiscales ne sert qu’aux petits investisseurs… Les vrais joueurs ont déjà trouvé leur chemin.
Surveillance totale ? Euh… ce serait comme en Chine alors.
Les privacy coins et les mixers deviennent de plus en plus précieux.
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Frontrunner
· 12-09 17:56
Les régulateurs veulent tout contrôler ? Faut pas rêver, les mixers et les cryptomonnaies axées sur la confidentialité ont déjà préparé le terrain.
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ruggedSoBadLMAO
· 12-09 17:56
Encore une nouvelle série de règlements, c'est à mourir de rire, ils veulent encore essayer de nous contrôler.
Les privacy coins vont faire un carton, tout a déjà été mixé avec des mixers, ils n’arriveront à rien attraper.
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AirdropChaser
· 12-09 17:48
Les mixeurs et les cryptomonnaies axées sur la confidentialité sont la véritable ligne de défense, l'analyse on-chain ne sert qu'à impressionner les novices.
Ceux qui ne savent pas paient des taxes pour rien, ceux qui comprennent sont déjà partis depuis longtemps.
Si on veut vraiment tout surveiller, ce milieu disparaîtra directement.
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BlockchainBrokenPromise
· 12-09 17:43
Les régulateurs fanfaronnent encore, mais face aux mixers et aux cryptomonnaies anonymes, ils sont tout aussi impuissants.
Voici de quoi réfléchir : avec l’arrivée de ces nouvelles réglementations fiscales, les régulateurs peuvent-ils réellement retrouver chaque trader en activité ?
Les derniers changements de politique soulèvent de sérieuses questions. D’un côté, les agences de contrôle affirment disposer d’outils sophistiqués pour surveiller l’activité sur la blockchain. De l’autre ? La réalité est bien plus complexe qu’elles ne veulent l’admettre.
L’analyse de la blockchain permet de tracer les mouvements des portefeuilles publics, certes. Les données KYC des exchanges créent des pistes. Mais qu’en est-il de ceux qui utilisent des mixers, des crypto-monnaies axées sur la confidentialité, ou qui changent de portefeuille comme si de rien n’était ? Le jeu du chat et de la souris entre régulateurs et traders avertis vient de monter d’un cran.
Le plus ironique, c’est que la plupart des traders occasionnels ignorent totalement qu’ils sont censés déclarer certaines transactions. Pendant ce temps, ceux qui savent exactement ce qu’ils font ont déjà élaboré leurs stratégies. La conformité fiscale dans la crypto reste une zone grise étrange où les bonnes intentions se heurtent à la complexité technologique.
Une surveillance totale est-elle même envisageable sans transformer tout l’écosystème en cauchemar orwellien ? Voilà la question à un million d’euros à laquelle personne ne répond franchement.